Non. Les bras de la Police nationale ne sont pas trop courts pour sauver. Ses oreilles ne sont pas si dures pour entendre. Mais ce sont des "gwo palto" qui empêchent à l'institution de faire son travail.
Michel-Ange Gédéon, directeur général de la PNH, a indiqué que des autorités politiques prennent le plaisir de libérer les bandits mis aux arrêts par les forces de l'ordre. Lors des funérailles des policiers victimes, il a dénoncé que tout le monde veut instrumentaliser la Police. Mais la Police restera apolitique et doit traquer les "vagabonds", les bandits, là où ils se trouvent.
"Des gens veulent montrer que la Police ne peut pas faire son travail. En 2004, la situation était pire. Mais la Police s'est montrée à la hauteur", a affirmé le chef de la Police. Il a ordonné à la Police de ne pas donner de chance aux bandits, peu importe leur appartenance politique. Cette décision fait suite à la rencontre des autorités sur ce dossier. Pour lire l'article, cliquez ici.
Depuis des semaines, des voix sont levées pour dénoncer des parlementaires impliqués dans l'extraction des bandits lors des interventions policières. Des noms commencent à paraitre, mais on dirait qu'aucune plainte n'a été formellement déposée contre ces parlementaires.
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