Nos officiels sont-ils tous des pervers ? En tot cas, des jeunes filles ont témoigné, à l'Informateur, de la haute immoralité du sénateur Joseph Lambert le samedi 30 mars 2019.
"Lorsque nous essayons de lui parler des problèmes des jeunes surtout dans le Sud-Est, le sénateur prend le vilain plaisir de demander aux filles de lui envoyer des photos de leurs vagins", ont révélé des jeunes filles. Selon ces jeunes frustrés du comportement du parlementaire, M Lambert ne se soucierait pas vraiment de la situation des jeunes, mais des moyens de les exploiter sexuellement.
Avec preuve à la main, les jeunes ont aussi révélé que le sénateur utilise l'argent de l'État pour financer la dépravation sexuelle, au lieu de contribuer sérieusement au développement des jeunes. Pour encourager des femmes à la prostitution, le fameux "animal politique" aurait essayé de les convaincre que les "show bouboun" et la prostitution des femmes, c'est normal à travers le monde.
Mais les victimes ont peur de porter plainte par crainte de la mort prématurée, disent-elles. Car selon elles, la justice en Haïti est toujours en faveur de immoraux et pervers qui se sont enrichis.
Serait-ce la raison pour laquelle le département du Sud-Est, la commune de Jacmel en particulier, est marqué du sceau de la prostitution, au lieu d'un développement réel ? Toute la carrière politique du sénateur aurait conttribué à la dépravation sociales des jeunes.
Un politicien contacté par l'Informateur, après avoir vu les déclarations du sénateur, a affirmé que les jeunes ne devraient plus voter pour des hyper immoraux et pervers si vraiment ils ne voudraient pas être contraints à la perversion et à la dépravation morale.
Des organisations sociales, comme la SOFA, Kay Fanm, la Fondation Katapausis, Fanm Deside, etc., ont dénoncé cete pratique où des officiels sous-exploitent sexuellement surout les jeunes filles pour un support de 250 gourdes, de mille gourdes, de 5 000 gourdes, etc. Le Ministère à la condition féminine et aux droits des femmes reste inepte devant la réalité des femmes en Haïti.
L'Informateur
Au lye yap fel konsa ke yo agiman pito pou yal pote plent
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