C'est dans le malheur que l'on reconnait les vrais amis, dit le viel adage. Ces derniers mois ont été d'une obscurité sans pareil avec l'insécurité et le banditisme dans le pays. Des femmes sont particulièrement victimes. Mais des citoyens se plaignent du mutisme des organisations féministes dans le pays.
"Les droits des femmes, est-ce seulement pour les paisibles citoyens dépourvus d'armes à feu, qui par jalousie auraient commis des folies ?", ont demandé des universitaires réfléchissant sur la conjoncture. Ils ont encore remis en question le rôle du Ministère à la condition féminine et aux droits des femmes (MCFDF), dans un pays où les ministères coûtent beaucoup à la nation. Selon eux, son mutisme serait une preuve de la non-nécessité d'un tel organe de l'État.
Certains pensent que le mouvement féministe est un moyen subtil utilisé par des femmes pour faire de l'argent au détriment des autres. "Ce n'est pas une affaire qui concerne vraiment le mieux-être des femmes", ont déploré des citoyens avisés que nous avons contactés. Selon eux, c'est la raison pour laquelle le Ministère et les organisations féministes auraient affiché un profil aussi bas en un moment si troublant.
Ces dernières semaines ont été lamentables pour les femmes en particulier. Certaines sont violées, beaucoup sont tuées et d'autres contraintes à faire des trucs obscènes pour des pervers et des bandits armés. Quel accompagnement les victimes ont-elles reçu des institutions mandatées pour défendre les droits des femmes ?
Josué Pierre-Paul. Tél.:(509) 31 87 9148
Le droit de la femme a devoir de reagir et mener une enquette sur l'affaire, c'est tris mais la vie a des epreuves.
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